Il est facile d’admettre que la santé n’a pas de prix et que maintenir un bon état de santé est essentiel. Surtout pour ceux qui souhaitent rester actifs et productifs. Et même si on n’est pas dans la catégorie actif, un état de santé déplorable a des répercussions sur la personne elle-même et son entourage. La meilleure façon de rester en bonne santé est de prendre des mesures de prévention.
Toutes les dispositions matérielles et objectives doivent être mises en œuvre pour s’assurer que les hommes en tant qu’individus et en tant qu’entité soient protégés. La pandémie nouvelle du coronavirus a provoqué un éveil des consciences sur la nécessité de se protéger contre les bactéries en général et ce virus en particulier dont la propagation est facilitée par les interactions quotidiennes. Dès lors, un comportement nouveau, comme le port du masque de protection, intègre les gestes quotidiens.
Les types de masques
Le masque de protection est porté sur la bouche et les narines pour éviter la propagation des virus et bactéries de la personne infectée vers la personne saine. Le masque de protection fonctionne comme un écran qui évite les projections. Il existe diverses catégories de masques. Les plus usités en cas d’épidémie virologique sont le masque chirurgical et le masque FFP2.
Le masque chirurgical
Le masque chirurgical demeure le plus utilisé par les usagers lors d’une crise sanitaire. La raison première de cette préférence est qu’il protège l’entourage du porteur tout en étant disponible à un coût abordable pour tous. Et, si le masque chirurgical est recommandé pour les personnes atteintes d’une infection respiratoire ou de type grippal, c’est que lorsqu’elles parlent, toussent, rient ou respirent, elles émettent des particules de salive. Pour la personne contaminée, ces particules constituent un vecteur de contagion envers son entourage. Le masque chirurgical permet de filtrer près de 95 % de ces particules et de diminuer le risque de contagion.
Le masque FFP2
S’il existe plusieurs types de masques FFP (Filtering Face Piece), celui recommandé en cas d’épidémie est celui de type 2. Le masque FFP2 est équipé d’un système de filtration de l’air inspiré. Ce système permet d’éliminer la poussière et divers virus parmi lesquels ceux responsables de syndromes respiratoires aigus sévères (SRAS). Ce masque filtre 94 % des particules émises avec un tamis de filtrage de 0,6 micromètre. En savoir plus sur le masque antivirus sur masque-de-protection.com.
Caution
Le masque chirurgical filtre l’air sortant tandis que le masque canard (FFP2) filtre l’air entrant. Vu que la propagation du virus par l’air est l’un des points d’influence pour la gestion d’une épidémie, il semble plus adapté de recourir au masque FFP2 pour minimiser les risques. Il reste primordial de noter que l’utilisation des masques est optimale si et seulement si les mesures sécuritaires adjointes sont respectées.
Les masques faits maison
Face à la pénurie des masques recommandés, blogueurs, modistes et usagers ont saisi l’opportunité de produire eux même leur masque. Bien que leur efficacité reste à démonter, les masques faits maison offrent la possibilité d’être réutilisés et d’être personnalisés. Enfin, dans une population prise de cours, ils offrent à l’usager un répit psychologique face à la peur d’être infecté. Notretemps.com explique comment fabriquer son masque à la maison.