Depuis la dernière décade, l’environnement subit une dégradation rapide et accélérée par les activités humaines. Afin de limiter les dommages collatéraux sur cette génération ou celles à venir et préserver l’écosystème qu’est la planète Terre, des mesures ont été adoptées par plusieurs pays de par le monde.
Le développement durable
L’application des mesures visant à protéger l’environnement dépend en premier des gouvernements des pays qui se sont mis d’accord sur la responsabilité de chacun de leur citoyen à l’impact de leur activité sur l’écosystème. De nombreuses initiatives, à l’instar de Time for the Planet, qui ne sont pas à but lucratif, mais exclusivement écologiques, commencent à émerger un peu partout à travers le monde. Il s’agit d’une stratégie sur le long terme. Toutefois, il faut plusieurs actions allant de concert pour la protection de l’environnement pour atteindre les objectifs de ce millénaire en matière d’écologie.
Le développement durable est un des leviers de la protection de l’environnement. Chaque pays doit assurer un développement pérenne sur les plans économique et social allant de pair avec la préservation des milieux naturels. L’un des moteurs clés du développement durable est la lutte contre le changement climatique, la protection de la biodiversité, la gestion des ressources énergétiques ainsi que la production et la consommation de manière responsable.
La limitation de l’impact des projets de construction
Le développement durable ou développement pérenne économique et social ne concerne pas uniquement tout ce qui doit être protégé ou préservé. Il faut savoir que la population mondiale actuelle atteint les 7,8 milliards et qu’en 2050, elle pourrait monter à 9,2 milliards. Outre les besoins en nourriture et en eau, il y a un point important qui est souvent minimisé : les constructions.
Aujourd’hui, la demande de permis de construire est obligatoire avant de réaliser des travaux, que ce soit pour la construction d’une maison ou l’aménagement d’un terrain. Les mesures sont donc nombreuses pour limiter les portées négatives des projets de construction sur l’environnement. On peut citer les mesures de protection qui réduisent les effets directs des constructions diverses sur un écosystème et les mesures de compensation qui contrebalancent ces effets directs.
La délivrance des permis de construire par les collectivités locales n’est plus une procédure administrative pour une conformité au PLU (plan local d’urbanisme). Elle dépend également des mesures appliquées dans le projet de construction qui permettent de préserver l’environnement.
Les bons gestes au quotidien de tout un chacun
Dans la grande marche mondiale de ce siècle pour défendre l’environnement, le gouvernement de chaque pays n’en est pas le seul responsable et garant. Tous ses citoyens sont autant acteurs que victimes de la dégradation de leur écosystème et par conséquent, ils doivent participer grandement aux mesures de protection de la nature. Un ensemble de bons gestes peut suffire à avoir un impact sur l’écologie.
On peut prendre l’exemple de l’économie d’eau qui peut se faire de différentes manières (dispositifs sanitaires économes, réduction de débit d’eau, etc.). Pour la préservation des sols, l’utilisation d’engrais organique et bio est vivement encouragée pour limiter l’infiltration de produits toxiques vers la nappe phréatique.
Bref, les bons gestes consistent à faire bon usage des ressources naturelles et à protéger en même temps la biodiversité.